Le tribunal a jugé que la plupart des mesures de police prises par la directrice, qui a excédé ses pouvoirs et refusé la proposition faite par le tribunal d’avoir recours à la médiation avec les acteurs du Parc concernés, étaient illégales et a donc annulé l’arrêté, vidé de sa substance, dans son ensemble. Certaines de ces mesures imposaient de fortes contraintes en cas de cession des activités commerciales de ces entreprises, mais également des mesures particulièrement contraignantes et injustifiées concernant les activités de plongée sous-marine notamment, telles que l’interdiction de prises de vue sous-marines, d’utilisation d’éclairages artificiels, le port de brassards par les plongeurs, la limitation de la taille des palmes par ces derniers. Il est également reproché à la décision annulée d’être trop imprécise ambiguë et disproportionnée dans la plupart de ses aspects.